Tatouage homme omoplate



Parmi les tatouages astrologiques, le tatouage du scorpion est le plus souvent prisĂ©. Bien que sur un aspect tout autre, le scorpion reprĂ©sente la tricherie, le danger et mĂȘme la mort, il a Ă©tĂ© dĂ©sacralisĂ© par les tatoueurs asiatiques qui le considĂšrent comme un porte bonheur, destinĂ© Ă  protĂ©ger son propriĂ©taire des mauvais esprits. Symbole de virilitĂ© et de dĂ©sobĂ©issance Ă  la fois, il est conseillĂ© si vous souhaitez vous faire tatouer votre signe astral scorpion, de le rendre plus stylĂ© et trĂšs beau, afin de ne pas pĂątir de la mauvaise rĂ©putation que revĂȘt ce signe.

Le caractĂšre de l’homme tatouĂ© au scorpion

L’homme tatouĂ© d’un scorpion reprĂ©sente une personne au caractĂšre trĂšs conflictuel, avec une forte personnalitĂ©. Destruction, putrĂ©faction, rĂ©gĂ©nĂ©ration, guĂ©rison sont ses tendances. Le choix de cet animal comme tatouage ne doit pas ĂȘtre fait au hasard. Il doit ĂȘtre liĂ© Ă  votre appartenance astrologique et cosmique tant la symbolique du scorpion est riche et reliĂ©e Ă  des symboles peu positifs. En revanche, le choix du tatouage de scorpion est liĂ© Ă  une volontĂ© d’affirmer votre caractĂ©rologie astrale.

Le tatouage est en effet un rite. Initiatique ou non, se faire tatouer, supporter les douleurs du dĂ©roulement d’un tatouage et des Ă©tapes qui mĂšnent Ă  sa cicatrisation font que la personne tatouĂ©e a le mĂ©rite d’ĂȘtre prise avec respect et considĂ©ration. Il faut aussi que le tatouĂ© accepte tout ce qu’implique un tatouage, afin de le laisser devenir une autre partie de vous.

Les techniques traditionnelles de tatouage homme

Selon la tradition, les cultures tribales crĂ©ent les tatouages Ă  l’aide d’outils aiguisĂ©s. Ces derniers Ă©taient le plus souvent fabriquĂ©s avec des os, et affutĂ©s en forme de peigne ou de poinçon. Les pointes du peigne Ă©taient ensuite trempĂ©es dans l’encre, puis le tatoueur venait frapper avec un petit bĂąton pour faire pĂ©nĂ©trer les pointes dans la peau et y insĂ©rer l’encre.

Une autre mĂ©thode traditionnelle consistait Ă  inciser la peau puis Ă  y frotter la coupure avec l’encre, des cendres ou bien un pigment. Cette derniĂšre ressemble plus Ă  une scarification. Au japon par exemple, il Ă©tait rĂ©alisĂ© Ă  l’aide d’aiguilles fixĂ©es au bout d’un manche, Ă  la maniĂšre d’un pinceau. Et une fois les aiguilles imprĂ©gnĂ©es d’encre, le tatoueur les faisait pĂ©nĂ©trer dans la peau par un mouvement de va-et-vient. Avec ces outils trĂšs grossiers, les tatouages Ă©taient trĂšs douloureux, quelque soit la dextĂ©ritĂ© du tatoueur, de la force du tatouĂ©, encore moins de la partie la moins douloureuse du corps.